Après un an à peine d’activités, la Chaire de recherche UQTR-ENPQ en prévention de la santé psychologique au travail en sécurité publiqueCe lien ouvre un site externe dans une nouvelle fenêtre. se révèle riche en succès du point de vue de la recherche, de la diffusion des résultats et du développement de partenariats.

Pilotée par Andrée-Ann DeschênesCe lien ouvre un site externe dans une nouvelle fenêtre., professeure au Département de management de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR)Ce lien ouvre un site externe dans une nouvelle fenêtre., et Annie GendronCe lien ouvre un site externe dans une nouvelle fenêtre., chercheuse au Centre de recherche et de développement stratégique de l’École nationale de police du Québec (ENPQ)Ce lien ouvre un site externe dans une nouvelle fenêtre., la Chaire a permis de mener des études de pointe qui auront un impact positif sur la santé psychologique des travailleurs de la sécurité publique. Ces travaux ont été possibles grâce à la forte présence des cotitulaires sur le terrain, aux collaborations entre les universités, l’ENPQ et les organismes de sécurité publique, ainsi qu'aux échanges de façon paritaire entre les directions des corps de police, les associations syndicales et le ministère de la Sécurité publique. 

« Très rapidement, la Chaire s’est construite une solide notoriété en développant des liens de confiance avec d'autres chercheurs et acteurs des milieux de la sécurité publique au Canada et à l'international, notamment en France et en Belgique. Ensemble, nous avons travaillé à partager et développer les meilleures pratiques de prévention pour le personnel de la sécurité publique qui évolue dans un contexte à risque et à haut potentiel de stress », souligne la professeure Andrée-Ann Deschênes. 

Malgré des avancées significatives et un transfert de connaissances bien amorcé dans les milieux partenaires et académiques, il reste encore beaucoup à faire pour répondre aux principaux besoins concernant la prévention auprès des travailleurs en sécurité publique.

« Les enjeux de ces travailleurs sont complexes puisqu’ils sont confrontés quotidiennement à des problématiques psychosociales et criminelles en constante évolution. Il est donc essentiel de poursuivre les études afin de fournir des mesures de soutien et de prévention adaptées à ces travailleurs qui ont le mandat de veiller au bien-être et à la sécurité de la population. C’est un peu notre devoir de soutenir et outiller ceux qui nous protègent et il reste encore beaucoup à faire », ajoute la chercheuse Annie Gendron.

Un séminaire comme catalyseur de connaissances

Pour poursuivre l’avancement des connaissances et le partage des meilleures pratiques, la Chaire de recherche UQTR-ENPQ tiendra un important séminaire, le 7 novembre prochain, à Mont-TremblantCe lien ouvre un site externe dans une nouvelle fenêtre.. L’événement permettra notamment de couvrir des thématiques telles que l’impact du stress chez le personnel policier, les trajectoires de prévention, les stratégies permettant d’augmenter la résilience et la formation destinée aux policiers et aux professionnels de la santé ainsi que les enjeux spécifiques au contexte policier en milieux autochtones.

Le séminaire se tiendra en marge du 7e congrès international de FRANCOPOLCe lien ouvre un site externe dans une nouvelle fenêtre., le réseau international francophone de formation policière qui célèbre cette année son 15e anniversaire. 

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