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Juin 2016
Bien que l'utilisation de nouveaux outils pour détecter la présence de drogues chez les conducteurs soit imminente, le travail d'enquête du patrouilleur sera toujours de première importance.
«Le patrouilleur doit être bien préparé autant pour détecter les conducteurs fautifs que pour rendre témoignage à la cour», explique Michel Pilon, expert-conseil en sécurité routière à l'École nationale de police du Québec et organisateur du Séminaire sur la capacité de conduite affaiblie par la drogue. « L’enquête de capacité de conduite affaiblie est une réalité et un enjeu important pour les organisations policières.»
C'est sans doute pour cette raison que plus de 120 personnes ont participé le 31 mai dernier au Séminaire sur la capacité de conduite affaiblie par la drogue qui se tenait à l'École nationale de police du Québec. Il s'agissait pour la plupart de policiers patrouilleurs, de moniteurs sur les épreuves de coordination des mouvements, d'agents évaluateurs experts en reconnaissance de drogues et de partenaires de la sécurité routière.
Parmi les objectifs de ce séminaire figuraient:
Annuellement depuis une dizaine d'années, l'École tient une journée d'information pour les personnes-ressources en matière d'alcootest. Depuis 2009, ce même genre de journée est offerte aux agents évaluateurs experts en reconnaissance de drogues.
Pour en savoir plus sur les conférences de cette journée, vous pouvez cliquer sur ce lien.