134e cohorte – en formation du 3 décembre au 28 mars 2013. Une collaboration de Michael Coulombe, Mikael Normandin, Étienne Morin Gagnon et Simon-Olivier Auger, aspirants policiers de la 134e cohorte.
Nos premiers pas à l’École nationale de police du Québec
Dès notre arrivée à l’École, le 1er dimanche de décembre, l’intégration fut intense et condensée. Les informations se bousculaient de part et d’autre dans nos têtes et nous tentions de suivre la cadence. C’est ce fameux soir de décembre que les 72 aspirants de la 134e cohorte venaient de réaliser l’ampleur de la vie à l’ENPQ. La semaine d’accueil organisée par la cohorte senior nous a permis d’intégrer à notre quotidien les valeurs de l’École et de nous surpasser en tant que groupe afin de former une grande famille unie : la 134e cohorte.
Une expérience unique
Les étudiants de la 134e cohorte ont déjà acquis une multitude d’expériences au cours de leurs premières semaines de formation. La plus marquante d’entre toutes est sans doute l’expérimentation de l’OC, communément appelé « poivre de cayenne ». Certains aspirants vous diront que cette expérience est un peu désagréable et d’autres vous diront que c’est le pire moment de leur vie. Dans tous les cas, les aspirants comprennent mieux l’effet provoqué par l’utilisation de ce produit. En prenant du recul, nous réalisons davantage que ce fut un événement rassembleur et bénéfique pour chacun d’entre nous.
Le temps des fêtes à l’ENPQ
Nous avons pris part au traditionnel dîner de Noël servi par le personnel de l’École. À la fin de ce repas, nous avons pu démontrer nos talents de chanteur en interprétant une version modifiée du P’tit renne au nez rouge.
Déjà, le moment était venu de nous quitter pour retrouver nos familles. Nous partons avec la fierté de nous être adaptés à ce milieu sans oublier que nous devrons revenir en force. Chose certaine, nous avons déjà une tout autre vision de notre future carrière et cette dernière contribue à notre hâte de revenir.
L'ENPQ se lève!
Le mercredi 9 janvier, il est 6 heures, l’ENPQ se lève. Nous sommes fébriles à l’effet de retrouver nos collègues et d’entamer nos premières synthèses dans les semaines qui suivent. Attention, la 134e cohorte est en feu et le désir de réussir est à son apogée.